Une autre visite au marché aux puces de Shawinigan a donné lieu à ce photo-reportage plus modeste que le précédent. Quelques bizarreries m'ont amusé une nouvelle fois, je les partage avec vous ici.
Pas de chance, cette fois, aucun livre étrange à signaler. Que des éditions poches de classiques et des éditions grand format de livres sans originalité particulière. Néanmoins, ce photo-roman avait un certain charme :Ce quatrième de couverture, tiré de la seconde biographie de Danielle Ouimet (il existe au moins 3 livres consacrés à "Valérie"), rappelle un certain jaunisme québécois des années 70 :Évidemment, une visite au marché aux puces manquerait de saveur sans l'assortiment habituel de disques vinyles improbables. Florilège :Fait particulier, l'endroit a deux étages (rez-de-chaussée + premier). Le premier étage est déconcertant. On a l'impression d'évoluer dans des limbes, dans quelque oubliette, quelque annexe improbable. L'escalier qui y mène ne paie pas de mine, une atmosphère morose plane sur l'endroit, silencieux et mal éclairé. Ambiance :L'un des amis qui m'accompagnaient pose fièrement devant une porte verrouillée qui dissimule on ne sait trop quoi. Le flou de la photo ajoute un petit quelque chose : on dirait qu'il s'agit d'un voleur en plein bal masqué.Cette visite dans l'un des antres du kitsch mauricien s'avéra donc plus sage que certaines des explorations précédentes. Seule une visite au haut lieu "polynésien" de Trois-Rivières, agrémentée d'un breuvage magique servi dans un verre en forme de crâne, pourrait peut-être y remédier...
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